Donner du sens à la science

« Homo numericus » sera-t-il libre?

« Homo numericus » sera-t-il libre?

03.01.2014
Aujourd’hui, les tablettes et les smartphones. Demain, des environnements « augmentés », des assistants robots ou encore des bus sans chauffeur… Quels impacts les innovations technologiques ont-elles sur nos comportements, notre cerveau, notre vie ? À l’avenir, serons-nous esclaves ou maîtres de la technologie ? Des chercheurs ont débattu de ces questions à l’automne 2013, lors d’un débat organisé par le CNRS et l'Université de Lyon.
À propos de cet audio
Année de production :
2014
Durée :
02:09:00
Animateur :
Aline Mongellaz
Intervenant(s) :
- Gérard Berry : membre de l’Académie des sciences, professeur au Collège de France, chaire « Algorithmes, machines et langages ». Auteur de La numérisation du monde.
- Francis Jauréguiberry : sociologue des usages des technologies de communication, professeur de l’Université de Pau, directeur du laboratoire Société, environnement, territoire (Université de Pau/CNRS). Co-auteur (avec Serge Proulx) de Usages et enjeux des technologies de communication.
- Bernard Croisile : neurologue, responsable adjoint du service en neuropsychologie à l’Hôpital neurologique de Lyon (HCL), spécialiste des troubles de mémoire et du diagnostic précoce de la maladie d’Alzeimer. Auteur de Tout sur la mémoire.
- Eric Guichard : Philosophe et anthropologue de l’internet. Maître de conférences HDR à l’ENSSIB, responsable de l’équipe Réseaux, Savoirs & Territoires de l’ENS-Ulm Directeur de programme au Collège international de philosophie

Commentaires

18 commentaires

17.25 "Se projecter un peu plus dans l'avenir // les gens ont été nul en prévisions ..." CAD il faut prendre en compte l'orientation commercial des technologies dans l'évolution globale et militaire. Je ne suis pas sure qu'un ordinateur militaire intelligent n'existe pas quand je vois Watson d'IBM.

23.14 "Mettre dans notre cerveau qu'elle intérêt ?" L'avenir, l'Homme augmenté, la singularité, se sentir moins bêtes face à la connaissance et meilleur face au défis de l'emploi (vous feriez vous sectionner rallonger les jambes? Des chinoises le font) La limite Humaine dans certain domaine va au delà de l'imagination du sens commun, c'est peut-être pour cela quelle est si difficile à prévoir ... Aux moment ou nous n'aurons plus accès à notre libre arbitre, il en sera fini de la Liberté de pensée. Liberté de pensée qui aujourd'hui est amoindri par le niveau de connaissance et donc pour partie niveau de conscience. L'un d'entre vous cherche-t-il un serveur de café ... porteur de papier ... videur de corbeille ... un assistant ?

On regrette de pas avoir eu ça à notre époque ... bon mes enfants sont loin de faire de moi un grand père ... Quelle chance on les nouvelles générations, même si ses technologie peuvent représenter le pire, elles peuvent apporter tellement de connaissances, sans être limité par des moyens économique ou de diplôme :-)

L'évolution Numérique et de l'Homme vers la Singularité est ce qui peut nous amené à pensez que le GEIPAN (devrait être remonté) chercher du côté de forme d'Intelligence Froide. CAD des bio machines. En partant du principe d'un modèle d'évolution // au notre mais + avancé, il semble que si un jour une forme de "vie" viens à nous, elle serait plus vraisemblablement de ce type que simplement biologique. 1. Singularité permettant l'adaptation à la vie dans l'espace et le déplacement à des vitesses supra luminique. 2. Singularité permettant l'accès au niveau de connaissance nécessaire pour la découverte et maitrise de telle technologie. 3. J'ai peu de chance de voir un jour un ovni, mais j'aimerais bien voir un cdi

~55.00 Dans le langage orale, je ne suis pas sure que vous trouveriez les fautes que je fais sur mon clavier. Par contre ce qui est sure, c'est que tous mes profs on / avait faux en terme d'orthographe par rapport à un dictionnaire que j'ai du 17ème. Et pourtant ... ils ont eu leur diplômes ...

Pages

Pour laisser votre avis sur cet article
Connectez-vous, rejoignez la communauté
du journal CNRS